25 mars 2012
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Après les gelées de février, le jardin met les bouchées doubles.
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Anémones Blanda (petits bulbes indestructibles), aubriettes (vaillantes montagnardes),
bergénias (increvables et fidèles), bruyères (pourraient mieux fleurir),
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chèvrefeuille arbustif (de floraison hivernale), cognassier du Japon (idem),
corète du Japon (agréable envahisseur), forsythia (une vieille variété peu florifère),
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giroflée (bien parfumée), hellébore blanche (Noël est pourtant passé),
hellébore pourpre (merci Catherine), iris réticulés (de vieux survivants),
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jasmin d’hiver nudiflore (et inodore), jonquille (normale en mars…)
perce-neige (qui tapent l’incruste en attendant une neige qui n’est pas venue), primevère blanche (sauvage),
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primevère rose (sauvage quand même), sarcococca (parfumé),
Tulipe orange (précoce), tulipe “purissima” (bien belle, ma foi),
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tulipe tricolore (botanique), tulipe turkestanica (botanique aussi),
veronica filiformis (plante vivace tapissante cousine de la mauvaise herbe), viorne bodnantense (parfumée).
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That’s all folks!
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